La saga Bitcoin Wright-Kleiman : Justice ou cirque juridique ?

Donc Craig Wright, l'autoproclamé "Satoshi Nakamoto" ( ouais, c'est ça), a gagné son appel contre la succession de l'homme décédé David Kleiman. Comme c'est pratique. Le tribunal a statué qu'ils "n'avaient pas collaboré" sur le minage de Bitcoin, permettant à Wright de garder sa supposée fortune pour lui tout seul.

Je suis ce dossier depuis des années, et honnêtement, ça pue. Les avocats de Wright ont clairement manipulé le jury comme des marionnettistes, et maintenant le 11e circuit les soutient. Quelle blague!

De là où je suis, cela ressemble à un autre chapitre dans la quête sans fin de Wright pour convaincre le monde qu'il a créé Bitcoin. L'homme ne peut même pas prouver qu'il contrôle les portefeuilles de Satoshi, et pourtant les tribunaux se prononcent en sa faveur concernant la propriété de Bitcoin ?

La famille Kleiman mérite mieux. Ils ont soutenu que la moitié des Bitcoins initialement minés devraient appartenir à David - c'est plus d'un milliard de dollars aux prix d'aujourd'hui ! Mais non, le jury a décidé que Wright et Kleiman "n'avaient pas collaboré". Récit pratique quand une partie est morte et ne peut pas se défendre, n'est-ce pas ?

Cette décision sent le privilège et la manipulation. Wright continue de prétendre qu'il "donnera une grande partie de la fortune Bitcoin à des œuvres de charité" s'il gagne. Ouais, et je suis la Reine d'Angleterre ! Deux ans après le jugement, la succession de Kleiman poursuit toujours $143M qu'on lui doit.

La communauté crypto sait ce qui se passe. Ce n'est pas une question de justice - c'est une question de maintenir une façade. Avec le BTC maintenant autour de 110K $, les enjeux sont astronomiques. Le système judiciaire n'a pas réussi à voir à travers les revendications de Wright, et maintenant la famille d'un homme décédé en paie le prix.

Ne me lancez pas sur les bailleurs de fonds tiers comme Parabellum qui soutiennent ce litige. Tout le monde est payé alors que la vérité s’enfouit plus profondément.