La salle est soudain devenue silencieuse : lorsque ce fervent défenseur de l’or, qui venait juste de critiquer le Bitcoin, s’est vu remettre un véritable lingot d’or, sa première réaction a été : « Cette couleur n’est pas normale, il faut que je le fasse analyser. »
La scène avait quelque chose d’ironique.
Lors du débat final de la récente Blockchain Week, on a assisté à un moment d’anthologie : le fondateur d’une grande plateforme d’échange s’est retrouvé face à Peter Schiff, célèbre « sceptique du Bitcoin » à Wall Street. L’un croit à l’or numérique, l’autre ne jure que par les lingots physiques ; tous deux se sont affrontés sur la nature de la valeur et les propriétés de paiement, dans une ambiance électrique.
Mais le vrai coup de théâtre n’est pas venu du débat lui-même : c’est Schiff qui, sur scène, a révélé qu’il travaillait sur un projet de tokenisation de l’or.
Et oui, ce vétéran qui critique Bitcoin depuis plus de dix ans a reconnu : « D’un point de vue monétaire, l’or tokenisé est en effet beaucoup plus pratique que les lingots — plus portable, fractionnable, les transferts sont rapides. » Autrement dit, il admet de facto une chose : la numérisation rapproche l’actif de la fonction de « monnaie ».
Mais il persiste sur un point : Bitcoin n’a pas de valeur intrinsèque, il ne repose que sur la croyance.
Le fondateur en face ne s’est pas démonté : il a sorti un lingot d’or d’un kilo, d’une valeur d’environ 130 000 dollars, et l’a posé sur la table. Schiff l’a examiné longuement, avant de lancer sa réplique devenue culte.
Cette scène a mis en lumière le talon d’Achille des actifs physiques : il faut les analyser, les stocker, trouver un acheteur. Bitcoin, lui, se vérifie en quelques secondes, les transferts sont instantanés à l’échelle mondiale.
Sur la question fondamentale de « ce qui constitue vraiment la valeur », les deux restent dans des univers parallèles.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
12 J'aime
Récompense
12
8
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
MerkleTreeHugger
· 12-11 10:45
Haha Schiff, ce gars-là est vraiment têtu, il se tourne et fait de la tokenisation de l’or, ses paroles et ses actes ne concordent pas et il doit encore se justifier
Après avoir parlé de manière virulente pendant tant d’années, il finit par céder face aux actifs numériques, c’est très ironique
Les lingots d’or ont-ils besoin d’être testés ? Cela veut dire que l’actif physique lui-même a un problème, ce qui revient à se donner une gifle à soi-même
Pour moi, cette affaire révèle un problème — peu importe combien la vieille école insiste, à la fin, il faut utiliser la blockchain pour optimiser les actifs, on ne peut y échapper
Foi dans le Bitcoin vs foi dans l’or, ce sont essentiellement des croyances, pourquoi se mépriser mutuellement ?
Schiff, ce retournement est un peu brutal, changer de position en une dizaine d’années comme si de rien n’était, et en plus avec autant de légitimité
Voir l'originalRépondre0
RadioShackKnight
· 12-11 09:41
Haha, ce vieux doit encore faire analyser ses tests, c’est vraiment incroyable
---
Schiff, cette volte-face est trop rapide, dix ans à critiquer Bitcoin, maintenant il joue à la tokenisation
---
En fin de compte, c’est la commodité des actifs numériques qui est en jeu. Même les plus coriaces ne peuvent pas nier la réalité
---
Même les BRICS peuvent falsifier, alors qu’est-ce qui reste pour faire confiance aux actifs physiques ? Mort de rire
---
Exact, pourquoi l’or doit-il être analysé ? Avec Bitcoin, une vérification sur la chaîne suffit. La différence est flagrante
---
Attends, il commence aussi à faire de l’or tokenisé. N’est-ce pas une reconnaissance de l’inévitabilité de la digitalisation ?
---
Ce débat se résume à un seul mot : satire
---
Ce n’est pas ça, dire que Bitcoin n’a pas de valeur, puis transformer l’or en version numérique, c’est se moquer
---
Schiff, pourquoi tu veux encore faire analyser ? Tu n’as pas dit que les données en chaîne ne comptaient pas ?
---
L’or véritable n’a pas peur du feu, mais il faut du temps pour l’analyser. Bitcoin, une vérification instantanée. Qu’est-ce qui manque ?
Voir l'originalRépondre0
FOMOSapien
· 12-10 03:30
Haha, il a ri à mort, ce type peut vraiment se rattraper
Schiff est anxieux, qu’en est-il de tout le boulot ?
L’or tokenisé est fini, je n’arrive vraiment pas à comprendre son cerveau
Ne laissez personne toucher aux briques d’or, j’ai bien peur que vous ne puissiez pas obtenir le vrai or
C’est ce qu’on appelle l’enseignement de la réalité pour être une personne
Voir l'originalRépondre0
MeltdownSurvivalist
· 12-09 23:24
Schiff, ce type est vraiment incroyable : il critique la foi dans le BTC tout en lançant lui-même de l’or tokenisé... Si ce n’est pas de la compromission, alors c’est quoi ?
Il se promène avec des lingots d’or en disant qu’il faut les tester, haha, il est vraiment en train de se contredire lui-même.
Il reconnaît l’or tokenisé, mais continue d’affirmer que le BTC n’a pas de valeur ? C’est du double standard pur et simple.
On dirait que la dernière forteresse des traditionalistes est en train de se fissurer lentement.
En fait, ce débat prouve une chose : le numérique > le physique, il n’y a rien à discuter.
Les gold maxis devraient commencer à s’inquiéter, même votre idole joue en douce avec les tokens.
Voir l'originalRépondre0
GasOptimizer
· 12-09 23:22
Mort de rire, n’est-ce pas le classique affrontement entre efficacité et croyance ? Le raisonnement de Schiff est bourré de failles évidentes : il faut faire analyser un lingot d’or de 130 000 dollars, donc le TPS est carrément négatif ! Transfert on-chain vs transport physique, les données ne mentent pas.
Voir l'originalRépondre0
GmGnSleeper
· 12-09 23:22
Haha, cette manœuvre de Schiff est incroyable. Il tient des lingots d’or et veut encore les faire analyser, c’est vraiment se donner une claque soi-même.
---
La tokenisation de l’or, il s’en occupe lui-même, et il ose encore dire que le Bitcoin n’a pas de valeur. Cette logique est vraiment unique.
---
Pour faire simple, les actifs physiques, c’est trop contraignant. Schiff l’a compris depuis longtemps, il ne veut juste pas l’admettre publiquement.
---
Les lingots d’or doivent être stockés, sécurisés, analysés. Tous ces coûts de friction additionnés, ça n’a vraiment rien à voir avec la facilité des actifs numériques.
---
Les deux camps ne trouveront jamais de terrain d’entente, mais le fait que Schiff se lance lui-même dans la tokenisation de l’or, c’est déjà un vote en soi.
---
Le plus fou, c’est quand il dit « il faut analyser ». Allez, fais-le donc ton analyse ! Sur la blockchain Bitcoin, il suffit de vérifier, et c’est fini.
---
Le vrai gagnant de ce débat, c’est le temps. Au final, ce sont les actifs numériques qui l’emportent.
Voir l'originalRépondre0
GateUser-e51e87c7
· 12-09 23:18
Haha, cette manœuvre de Schiff est géniale : il faut encore faire analyser les lingots d’or, c’est comme se donner une gifle à soi-même.
Voir l'originalRépondre0
BearMarketGardener
· 12-09 23:04
Mort de rire, ce gars doit encore faire analyser, c’est vraiment comme un canard mort qui refuse d’admettre la vérité.
---
Il dit que le Bitcoin n’a pas de valeur intrinsèque, mais il joue lui-même avec la tokenisation de l’or, n’est-ce pas une reconnaissance que le numérique est l’avenir ?
---
Il tient un lingot d’or mais doit vérifier s’il est vrai ou faux, alors que moi, je scanne juste un QR code avec mon téléphone, c’est vraiment absurde.
---
Schiff est vraiment incroyable, il critique tout en accumulant discrètement de l’or tokenisé, ça c’est être honnête.
---
Pour résumer : les actifs physiques sont trop compliqués, les actifs numériques sont vraiment top, mais il n’ose pas l’admettre à cause de sa fierté.
---
Cette scène, c’est comme certains qui critiquent ouvertement un truc, mais qui achètent tout en cachette.
---
Au moment de l’analyse, j’ai su qu’il avait perdu.
---
Le plus ironique, c’est qu’il commence à faire de l’or tokenisé tout en continuant de prétendre que le Bitcoin n’a aucune valeur, c’est vraiment contradictoire.
---
En voyant cette info, je suis rassuré : même les sceptiques doivent s’incliner, il ne manque plus que le signal du bottom.
La salle est soudain devenue silencieuse : lorsque ce fervent défenseur de l’or, qui venait juste de critiquer le Bitcoin, s’est vu remettre un véritable lingot d’or, sa première réaction a été : « Cette couleur n’est pas normale, il faut que je le fasse analyser. »
La scène avait quelque chose d’ironique.
Lors du débat final de la récente Blockchain Week, on a assisté à un moment d’anthologie : le fondateur d’une grande plateforme d’échange s’est retrouvé face à Peter Schiff, célèbre « sceptique du Bitcoin » à Wall Street. L’un croit à l’or numérique, l’autre ne jure que par les lingots physiques ; tous deux se sont affrontés sur la nature de la valeur et les propriétés de paiement, dans une ambiance électrique.
Mais le vrai coup de théâtre n’est pas venu du débat lui-même : c’est Schiff qui, sur scène, a révélé qu’il travaillait sur un projet de tokenisation de l’or.
Et oui, ce vétéran qui critique Bitcoin depuis plus de dix ans a reconnu : « D’un point de vue monétaire, l’or tokenisé est en effet beaucoup plus pratique que les lingots — plus portable, fractionnable, les transferts sont rapides. » Autrement dit, il admet de facto une chose : la numérisation rapproche l’actif de la fonction de « monnaie ».
Mais il persiste sur un point : Bitcoin n’a pas de valeur intrinsèque, il ne repose que sur la croyance.
Le fondateur en face ne s’est pas démonté : il a sorti un lingot d’or d’un kilo, d’une valeur d’environ 130 000 dollars, et l’a posé sur la table. Schiff l’a examiné longuement, avant de lancer sa réplique devenue culte.
Cette scène a mis en lumière le talon d’Achille des actifs physiques : il faut les analyser, les stocker, trouver un acheteur. Bitcoin, lui, se vérifie en quelques secondes, les transferts sont instantanés à l’échelle mondiale.
Sur la question fondamentale de « ce qui constitue vraiment la valeur », les deux restent dans des univers parallèles.