Le co-président de Balyasny Asset Management, un fonds spéculatif, a souligné mardi que l’intelligence artificielle deviendrait le principal risque extrême d’ici 2026 : d’une part, le recul de la demande dans le secteur de l’IA et la réduction des dépenses des géants technologiques, dont la monétisation n’a pas répondu aux attentes, pourraient déclencher des risques de performances inférieures aux prévisions ;
D’autre part, un développement de l’IA supérieur aux attentes ou une accélération des vagues de licenciements entraîneraient une rupture dans la reconversion et la transition professionnelle des travailleurs. Selon lui, ces deux scénarios sont susceptibles de provoquer une volatilité sur les marchés, mais il est plus probable que l’IA poursuive son rythme de développement actuel.
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Le co-président de Balyasny Asset Management, un fonds spéculatif, a souligné mardi que l’intelligence artificielle deviendrait le principal risque extrême d’ici 2026 : d’une part, le recul de la demande dans le secteur de l’IA et la réduction des dépenses des géants technologiques, dont la monétisation n’a pas répondu aux attentes, pourraient déclencher des risques de performances inférieures aux prévisions ;
D’autre part, un développement de l’IA supérieur aux attentes ou une accélération des vagues de licenciements entraîneraient une rupture dans la reconversion et la transition professionnelle des travailleurs. Selon lui, ces deux scénarios sont susceptibles de provoquer une volatilité sur les marchés, mais il est plus probable que l’IA poursuive son rythme de développement actuel.