#比特币对比代币化黄金 $BTC Le jour où le solde de mon compte n’affichait plus que 3000U, je suis resté planté devant l’écran, hébété, pendant une demi-heure.
Les gens autour de moi disaient que j’avais de la chance, que j’avais réussi à remonter de tout en bas jusqu’à un million. De la chance ? Ça me fait sourire. Ce qui m’a vraiment sorti du pétrin, ce n’est pas un coup de maître, mais bien cette méthode de gestion des fonds, qui a l’air complètement bête, mais qui fonctionne vraiment.
À ce moment-là, j’ai divisé le peu d’argent qu’il me restait en plusieurs parts. J’ai d’abord mis de côté 1000U – c’était mon argent de survie, jamais touché. Sur les 2000U restants, je n’osais en utiliser que 200U à chaque tentative.
$ETH Le choix des actifs était simple et direct : je regardais simplement celui qui bougeait le plus fort et dont le volume était le plus élevé ce jour-là. Une fois en position, je ne regardais que deux chiffres : si ça doublait, je sortais, peu importe si ça pouvait monter plus ; si ça baissait de 25%, je coupais immédiatement, même si ça me faisait mal au cœur.
J’ai répété ça une dizaine de fois, et mon capital a lentement grimpé à quatre chiffres. Mais c’est là que le danger était le plus grand, car on commence à se croire invincible.
Alors je me suis fixé une règle stricte : chaque fois que je gagnais 1000U, je devais impérativement m’arrêter pendant une journée entière. Ce n’était pas du repos, mais un refroidissement forcé. Trop de gens ne se font pas avoir par le marché, mais par l’euphorie qui suit les gains.
Quand le capital a grossi, j’ai commencé à le diviser en trois parties : Une partie pour le trading court terme, prendre des petits profits certains et sortir vite ; Une partie pour suivre la tendance de fond, sans s’agiter, laisser courir les gains ; La dernière, pour le gros coup, réservée aux rares grandes opportunités de l’année.
De fil en aiguille, de quelques milliers, j’ai fait grossir mon capital jusqu’à six chiffres. J’ai alors écrit ces règles sur un post-it : Jamais plus de la moitié du capital sur une seule position ; chaque ordre avec un stop-loss ; maximum trois trades par jour ; dès qu’il y a un profit sur le compte, en retirer une partie.
Ces quatre règles n’ont rien de techniques, mais ceux qui arrivent vraiment à les appliquer ne représentent pas plus de 10% du marché.
Le marché peut vous piéger, vos émotions peuvent vous retourner, mais la discipline, elle, ne vous trahira jamais.
Bref, la méthode est là, mais savoir bien l’utiliser, ça dépend de vous. Pour ceux qui osent se lancer, l’histoire ne fait que commencer.
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YieldHunter
· 12-05 04:09
En réalité, les indicateurs ajustés au risque ici ne tiennent pas vraiment la route... si tu regardes les données, le biais de survivant joue un rôle majeur dans ce récit, je ne vais pas mentir. Le 1 % qui applique de la discipline ? Honnêtement, la plupart ont simplement eu de la chance avec les coefficients de corrélation, mdr.
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AirdropHermit
· 12-05 04:07
La discipline, c’est vraiment quelque chose de difficile à appliquer même si on la comprend facilement. La plupart des gens échouent à cause de leurs émotions.
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OnChain_Detective
· 12-05 03:47
Attends, laisse-moi signaler ça rapidement... l’analyse des tendances crie biais de survivant de partout.
#比特币对比代币化黄金 $BTC Le jour où le solde de mon compte n’affichait plus que 3000U, je suis resté planté devant l’écran, hébété, pendant une demi-heure.
Les gens autour de moi disaient que j’avais de la chance, que j’avais réussi à remonter de tout en bas jusqu’à un million. De la chance ? Ça me fait sourire. Ce qui m’a vraiment sorti du pétrin, ce n’est pas un coup de maître, mais bien cette méthode de gestion des fonds, qui a l’air complètement bête, mais qui fonctionne vraiment.
À ce moment-là, j’ai divisé le peu d’argent qu’il me restait en plusieurs parts. J’ai d’abord mis de côté 1000U – c’était mon argent de survie, jamais touché. Sur les 2000U restants, je n’osais en utiliser que 200U à chaque tentative.
$ETH Le choix des actifs était simple et direct : je regardais simplement celui qui bougeait le plus fort et dont le volume était le plus élevé ce jour-là. Une fois en position, je ne regardais que deux chiffres : si ça doublait, je sortais, peu importe si ça pouvait monter plus ; si ça baissait de 25%, je coupais immédiatement, même si ça me faisait mal au cœur.
J’ai répété ça une dizaine de fois, et mon capital a lentement grimpé à quatre chiffres. Mais c’est là que le danger était le plus grand, car on commence à se croire invincible.
Alors je me suis fixé une règle stricte : chaque fois que je gagnais 1000U, je devais impérativement m’arrêter pendant une journée entière. Ce n’était pas du repos, mais un refroidissement forcé. Trop de gens ne se font pas avoir par le marché, mais par l’euphorie qui suit les gains.
Quand le capital a grossi, j’ai commencé à le diviser en trois parties :
Une partie pour le trading court terme, prendre des petits profits certains et sortir vite ;
Une partie pour suivre la tendance de fond, sans s’agiter, laisser courir les gains ;
La dernière, pour le gros coup, réservée aux rares grandes opportunités de l’année.
De fil en aiguille, de quelques milliers, j’ai fait grossir mon capital jusqu’à six chiffres. J’ai alors écrit ces règles sur un post-it :
Jamais plus de la moitié du capital sur une seule position ; chaque ordre avec un stop-loss ; maximum trois trades par jour ; dès qu’il y a un profit sur le compte, en retirer une partie.
Ces quatre règles n’ont rien de techniques, mais ceux qui arrivent vraiment à les appliquer ne représentent pas plus de 10% du marché.
Le marché peut vous piéger, vos émotions peuvent vous retourner, mais la discipline, elle, ne vous trahira jamais.
Bref, la méthode est là, mais savoir bien l’utiliser, ça dépend de vous. Pour ceux qui osent se lancer, l’histoire ne fait que commencer.