Hier soir, un ami m’a montré son portefeuille en souriant : « Regarde, ce sont mes dividendes de laitue que j’ai cultivée. » Je pensais qu’il avait loué une serre à la campagne, mais en creusant, j’ai compris que c’est une ferme robotisée à Hong Kong qui cultive pour lui, et les revenus sont versés chaque mois en USDT. À ce moment-là, j’ai vraiment été impressionné : aujourd’hui, même cultiver des légumes, ce sont les machines qui travaillent pour les humains.

J’ai regardé @peaq : la ferme robotisée est divisée en 630 parts NFT, adossées à des flux de trésorerie réels provenant de la vente de légumes, avec un rendement annuel estimé à 18 %, et le premier versement est prévu pour fin décembre ;

L’app vient d’être mise à jour, réunissant plus de 60 applications DePIN / machine en un seul accès ; en plus de la zone franche pour l’économie des machines à Dubaï, cela intègre robots, DePIN et RWA machines dans un bac à sable réglementaire.

En tant que développeur, je pense que peaq consiste essentiellement à doter les machines d’un ID et d’un portefeuille, pour qu’elles puissent générer des revenus on-chain ; ce que les gens achètent, ce sont des « fragments de flux de trésorerie machine ». L’avantage, c’est que l’histoire commence à devenir concrète ; le risque, c’est la pression des déblocages, la concurrence importante, donc il faut considérer cela comme un investissement sur le long terme, sans tout miser d’un coup.

#PEAQ #DePIN DYOR