Dans le monde de la cryptomonnaie, on entend souvent parler de Layer 1, Layer 2, Layer 3 — ce ne sont pas simplement des termes, mais l'architecture de tout l'écosystème. Déchiffrons cela.
Layer 1: fondation
C'est la blockchain elle-même — Bitcoin, Ethereum, Solana. Tout se passe ici : la vérification des transactions, l'atteinte du consensus, l'enregistrement dans les blocs.
Problème : le réseau est lent et coûteux. Bitcoin traite environ 7 transactions par seconde, Ethereum paye des frais de gaz comme pour une voiture lors des périodes de pointe.
Layer 2: code de triche pour l'échelle
Ce sont des solutions qui soulagent une partie de la charge du Layer 1. Elles fonctionnent en parallèle, et non en surchargeant le réseau principal.
Exemples :
Lightning Network — paiements instantanés en bitcoin
Polygon, Arbitrum, Optimism — raillaps et sidechains pour Ethereum
Résultat : des transactions 100 à 1000 fois plus rapides, des commissions minimales. C'est la zone des microtransactions et des dApps rapides.
Couche 3 : où vivent les gens
Ici se trouvent les applications que tu utilises vraiment :
DeFi : Uniswap, Aave — finances décentralisées
NFT : OpenSea, Blur — ici nous négocions de l'art numérique
Jeux: Axie Infinity et d'autres jeux blockchain
L'essence
Layer 1 — fondation sécurisée, mais lente. Layer 2 — autoroute rapide. Layer 3 — interface et significations. Ensemble, ils créent un écosystème évolutif et fonctionnel.
Sans cette séparation, la crypto serait restée une expérience pour les nerds. Avec elle, cela devient un outil pour des milliards.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Couches de blockchain : des bases aux applications
Dans le monde de la cryptomonnaie, on entend souvent parler de Layer 1, Layer 2, Layer 3 — ce ne sont pas simplement des termes, mais l'architecture de tout l'écosystème. Déchiffrons cela.
Layer 1: fondation
C'est la blockchain elle-même — Bitcoin, Ethereum, Solana. Tout se passe ici : la vérification des transactions, l'atteinte du consensus, l'enregistrement dans les blocs.
Problème : le réseau est lent et coûteux. Bitcoin traite environ 7 transactions par seconde, Ethereum paye des frais de gaz comme pour une voiture lors des périodes de pointe.
Layer 2: code de triche pour l'échelle
Ce sont des solutions qui soulagent une partie de la charge du Layer 1. Elles fonctionnent en parallèle, et non en surchargeant le réseau principal.
Exemples :
Résultat : des transactions 100 à 1000 fois plus rapides, des commissions minimales. C'est la zone des microtransactions et des dApps rapides.
Couche 3 : où vivent les gens
Ici se trouvent les applications que tu utilises vraiment :
L'essence
Layer 1 — fondation sécurisée, mais lente. Layer 2 — autoroute rapide. Layer 3 — interface et significations. Ensemble, ils créent un écosystème évolutif et fonctionnel.
Sans cette séparation, la crypto serait restée une expérience pour les nerds. Avec elle, cela devient un outil pour des milliards.