Quand les investisseurs milliardaires deviennent des critiques de la politique : l’avertissement de Kiyosaki sur l’orientation économique des États-Unis
Robert Kiyosaki vient de publier un avis tranché sur X qui fait vibrer la sphère financière. L’investisseur légendaire — célèbre pour Père riche, père pauvre — s’en est pris aux politiques de contrôle des loyers de New York, les qualifiant de « marxistes » et de menace directe pour le droit de propriété privée.
L’argument central : la politique du logement comme idéologie économique
Voici ce qui a mis le feu aux poudres : l’extension proposée de la stabilisation des loyers à New York permettrait aux locataires de conserver leurs appartements sur plusieurs générations, en les transmettant même à leurs enfants. Kiyosaki y voit une intervention excessive de l’État, tuant toute incitation pour les propriétaires et violant les fondements du capitalisme.
Son inquiétude principale ? Une fois que le gouvernement contrôle durablement le logement, la propriété — pierre angulaire de la constitution de richesse — perd tout son sens. Il cite directement Marx : « Le but du communisme est l’abolition de la propriété privée », affirmant que ces politiques nous mènent précisément dans cette direction.
Au-delà du logement : le problème du système éducatif
Kiyosaki ne s’est pas arrêté là. Il a accusé la National Education Association (NEA) de détourner les écoles de l’éducation à la littératie financière. Selon lui, si les jeunes Américains n’apprennent pas à gérer leur argent et à accumuler des richesses, ils ne pourront jamais s’émanciper du soutien de l’État.
Cela s’inscrit dans son récit plus large : hausse des impôts + contrôle des loyers + lacunes éducatives = une lente dérive vers une économie contrôlée par l’État.
Pourquoi les investisseurs crypto prêtent attention
C’est là que la question rejoint la sphère crypto. Kiyosaki a conclu en encourageant chacun à se protéger avec de « l’argent réel » — or, argent, Bitcoin et Ethereum. Selon lui, la crypto est « l’argent du peuple », un rempart contre l’expansionnisme budgétaire et les excès réglementaires.
Le timing est important. Le Bitcoin est en hausse de 1,44 % et l’ETH grimpe de 1,36 % alors que le débat sur l’inflation s’intensifie. Les investisseurs en actifs voient de plus en plus les monnaies numériques non comme des paris technologiques, mais comme des polices d’assurance politique.
La vue d’ensemble
Que l’on soit d’accord ou non avec Kiyosaki, son message reflète une véritable tension dans la politique américaine : régulation sociale contre liberté économique. La communauté crypto connaît bien ce discours — c’est pour cette raison que beaucoup se sont tournés vers le Bitcoin lors de la crise financière de 2008, puis à nouveau lors de la création monétaire pendant la pandémie.
La question que se posent les investisseurs : Anticipe-t-il une véritable tendance, ou s’agit-il simplement d’un avis clivant de plus dans une année électorale ? Quoi qu’il en soit, cela redéfinit la façon dont les gens pensent à l’allocation de leurs actifs.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Quand les investisseurs milliardaires deviennent des critiques de la politique : l’avertissement de Kiyosaki sur l’orientation économique des États-Unis
Robert Kiyosaki vient de publier un avis tranché sur X qui fait vibrer la sphère financière. L’investisseur légendaire — célèbre pour Père riche, père pauvre — s’en est pris aux politiques de contrôle des loyers de New York, les qualifiant de « marxistes » et de menace directe pour le droit de propriété privée.
L’argument central : la politique du logement comme idéologie économique
Voici ce qui a mis le feu aux poudres : l’extension proposée de la stabilisation des loyers à New York permettrait aux locataires de conserver leurs appartements sur plusieurs générations, en les transmettant même à leurs enfants. Kiyosaki y voit une intervention excessive de l’État, tuant toute incitation pour les propriétaires et violant les fondements du capitalisme.
Son inquiétude principale ? Une fois que le gouvernement contrôle durablement le logement, la propriété — pierre angulaire de la constitution de richesse — perd tout son sens. Il cite directement Marx : « Le but du communisme est l’abolition de la propriété privée », affirmant que ces politiques nous mènent précisément dans cette direction.
Au-delà du logement : le problème du système éducatif
Kiyosaki ne s’est pas arrêté là. Il a accusé la National Education Association (NEA) de détourner les écoles de l’éducation à la littératie financière. Selon lui, si les jeunes Américains n’apprennent pas à gérer leur argent et à accumuler des richesses, ils ne pourront jamais s’émanciper du soutien de l’État.
Cela s’inscrit dans son récit plus large : hausse des impôts + contrôle des loyers + lacunes éducatives = une lente dérive vers une économie contrôlée par l’État.
Pourquoi les investisseurs crypto prêtent attention
C’est là que la question rejoint la sphère crypto. Kiyosaki a conclu en encourageant chacun à se protéger avec de « l’argent réel » — or, argent, Bitcoin et Ethereum. Selon lui, la crypto est « l’argent du peuple », un rempart contre l’expansionnisme budgétaire et les excès réglementaires.
Le timing est important. Le Bitcoin est en hausse de 1,44 % et l’ETH grimpe de 1,36 % alors que le débat sur l’inflation s’intensifie. Les investisseurs en actifs voient de plus en plus les monnaies numériques non comme des paris technologiques, mais comme des polices d’assurance politique.
La vue d’ensemble
Que l’on soit d’accord ou non avec Kiyosaki, son message reflète une véritable tension dans la politique américaine : régulation sociale contre liberté économique. La communauté crypto connaît bien ce discours — c’est pour cette raison que beaucoup se sont tournés vers le Bitcoin lors de la crise financière de 2008, puis à nouveau lors de la création monétaire pendant la pandémie.
La question que se posent les investisseurs : Anticipe-t-il une véritable tendance, ou s’agit-il simplement d’un avis clivant de plus dans une année électorale ? Quoi qu’il en soit, cela redéfinit la façon dont les gens pensent à l’allocation de leurs actifs.