Les pro de la Silicon Valley lancent un avertissement : si les États-Unis n'adoptent pas Bitcoin, ils sont finis.

Tim Draper a exprimé ce que beaucoup de gens pensent.

Ce légendaire investisseur en capital-risque a lancé un point de vue percutant sur X : le Bitcoin n'est pas seulement de l'argent, il concerne la sécurité nationale et l'indépendance financière. Dans le contexte géopolitique actuel, ces mots ont un impact considérable.

Sa logique est la suivante : des pays comme la Corée du Nord sont très actifs dans le domaine de la finance en ligne, et le gouvernement américain doit utiliser la technologie blockchain (en particulier les outils d'analyse on-chain) pour contrer cela. Arkham Intelligence a récemment récupéré 56 millions de dollars d'actifs cryptographiques au Canada, et Draper considère cette opération comme une preuve : l'analyse blockchain est devenue une nouvelle arme de défense financière nationale.

Les données ont brièvement brillé :

• Les gouvernements du monde détiennent environ 519 000 BTC (3,7 % de l'offre totale)
• 198 000 BTC pour les États-Unis et 190 000 BTC pour la Chine, les deux pays ont pris la majeure partie du BTC au niveau gouvernemental dans le monde.
• 61 000 pièces pour le Royaume-Uni, 46 000 pièces pour l'Ukraine, 6 300 pièces pour le Salvador restent fermement détenues.

Ce qui est encore plus exagéré, c'est que Draper prédit que le BTC pourrait atteindre 250 000 dollars, et à long terme, remplacer le dollar. C'est évidemment un pari audacieux, mais cela reflète une tendance : les institutions et les pays considèrent le bitcoin comme un nouvel atout pour l'indépendance financière.

Il est intéressant de noter qu'il y a une profonde anxiété derrière cela : si les États-Unis n'embrassent pas l'innovation blockchain, ils seront laissés pour compte dans la compétition en technologie financière. Défense, finance, technologie, l'histoire de Bitcoin est en train de passer de « monnaie virtuelle » à « outil de politique nationale ».