Dernièrement, un sujet plutôt intéressant fait beaucoup de bruit dans les cercles financiers : les banques centrales du monde entier devraient-elles ajouter le bitcoin à leurs réserves, à côté de l’or ?
La logique derrière cette idée n’est pas si compliquée : la domination du dollar vacille. De plus en plus de banques centrales réfléchissent à la diversification de leurs réserves, tandis que la reconnaissance institutionnelle des crypto-actifs progresse discrètement. Ce n’est pas une idée radicale, mais plutôt une mesure concrète pour se prémunir contre les risques géopolitiques.
Pourquoi le BTC et pas une autre crypto ?
Trois raisons :
Rareté — plafond dur de 21 millions d’unités, encore plus strict que l’or
Liquidité — une capitalisation suffisante pour éviter les chutes de marché brutales
Neutralité — n’appartient à aucun pays, tout le monde peut l’accepter
Évidemment, ce n’est pas quelque chose qui va arriver l’an prochain. Régulation, normes techniques, accords internationaux : tout ça doit être mis en place. Mais si, en 2030, une banque centrale annonce officiellement détenir du BTC ? Ce serait un signal très fort — cela signifierait que les crypto-actifs passent du statut « produit spéculatif » à celui de « composante de l’infrastructure financière ».
La vraie question maintenant, c’est : qui osera être le premier à sauter le pas ?
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Le BTC deviendra-t-il le « nouvel or » des banques centrales d'ici 2030 ?
Dernièrement, un sujet plutôt intéressant fait beaucoup de bruit dans les cercles financiers : les banques centrales du monde entier devraient-elles ajouter le bitcoin à leurs réserves, à côté de l’or ?
La logique derrière cette idée n’est pas si compliquée : la domination du dollar vacille. De plus en plus de banques centrales réfléchissent à la diversification de leurs réserves, tandis que la reconnaissance institutionnelle des crypto-actifs progresse discrètement. Ce n’est pas une idée radicale, mais plutôt une mesure concrète pour se prémunir contre les risques géopolitiques.
Pourquoi le BTC et pas une autre crypto ?
Trois raisons :
Évidemment, ce n’est pas quelque chose qui va arriver l’an prochain. Régulation, normes techniques, accords internationaux : tout ça doit être mis en place. Mais si, en 2030, une banque centrale annonce officiellement détenir du BTC ? Ce serait un signal très fort — cela signifierait que les crypto-actifs passent du statut « produit spéculatif » à celui de « composante de l’infrastructure financière ».
La vraie question maintenant, c’est : qui osera être le premier à sauter le pas ?