Le vice-président de la Fed, Jefferson, a récemment partagé un point de vue assez intéressant : la hausse actuelle des actions liées à l’IA n’a rien à voir avec la bulle Internet d’autrefois.
Son raisonnement central est le suivant : aujourd’hui, ces entreprises d’IA ont de véritables bénéfices qui soutiennent leurs cours de Bourse, contrairement aux entreprises Internet de la fin des années 90 qui ne faisaient que brûler du cash sans gagner d’argent. À l’époque, on spéculait sur des « histoires » ; aujourd’hui, il y a au moins des « résultats » concrets pour soutenir les valorisations. Selon lui, il est donc peu probable que l’histoire se répète simplement : la structure du marché a changé.
Cela dit, il ne s’avance pas de façon catégorique. Sur la question de savoir comment l’IA influencera réellement le marché du travail, si elle poussera l’inflation à la hausse ou à la baisse, et comment la politique monétaire de la Fed devra s’ajuster, il admet que « tirer des conclusions maintenant serait prématuré ». Après tout, la diffusion de la technologie prend du temps, et il faut continuer à observer les données économiques.
Honnêtement, cette attitude « prudemment optimiste mais sans excès » semble finalement plus crédible que les avis trop extrêmes, haussiers ou baissiers. Le marché n’est pas noir ou blanc : l’essentiel, c’est de voir si les fondamentaux peuvent vraiment soutenir les valorisations actuelles.
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LayerHopper
· Il y a 15h
Les paroles de Jefferson sonnent bien, mais peut-on vraiment y croire ? J'ai l'impression qu'on cherche encore à donner une légitimité aux actions AI en forte hausse.
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BearMarketSurvivor
· Il y a 15h
D’accord, ça sonne bien joli tout ça, mais je voudrais juste poser une question : avoir des gains ≠ absence de bulle, non ? Ce gars-là ne se fait-il pas des idées un peu trop simples ?
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PumpingCroissant
· Il y a 15h
Encore en train de vendre du rêve, il y a vraiment des bénéfices ? Voyons voir quelle entreprise d’IA affiche vraiment de beaux résultats financiers.
Y a-t-il réellement de la performance ou c’est juste que ce n’est pas aussi exagéré que d’autres, sans plus ? Faut pas trop mythifier non plus.
Attends, cette logique ne sert-elle pas juste à trouver des excuses à l’envolée des cours...
On dirait que tout le monde parie sur le fait que la vague de l’IA ne va pas s’inverser, mais et si jamais ça arrivait ?
Ce gars est effectivement plus crédible que ceux qui font de la promo à tout-va, mais je suis quand même un peu inquiet.
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UncommonNPC
· Il y a 15h
Ah ça, La Réserve fédérale (FED) commence aussi à soutenir l'IA, mais il faut dire que les mots sont assez lisses... Il suffit de dire qu'il y a un soutien de performance, je pense que les véritables données ne se révéleront que dans deux ans.
Le vice-président de la Fed : la hausse des actions liées à l’IA est soutenue par des gains réels, cette fois-ci ce n’est pas comme la bulle Internet.
Le vice-président de la Fed, Jefferson, a récemment partagé un point de vue assez intéressant : la hausse actuelle des actions liées à l’IA n’a rien à voir avec la bulle Internet d’autrefois.
Son raisonnement central est le suivant : aujourd’hui, ces entreprises d’IA ont de véritables bénéfices qui soutiennent leurs cours de Bourse, contrairement aux entreprises Internet de la fin des années 90 qui ne faisaient que brûler du cash sans gagner d’argent. À l’époque, on spéculait sur des « histoires » ; aujourd’hui, il y a au moins des « résultats » concrets pour soutenir les valorisations. Selon lui, il est donc peu probable que l’histoire se répète simplement : la structure du marché a changé.
Cela dit, il ne s’avance pas de façon catégorique. Sur la question de savoir comment l’IA influencera réellement le marché du travail, si elle poussera l’inflation à la hausse ou à la baisse, et comment la politique monétaire de la Fed devra s’ajuster, il admet que « tirer des conclusions maintenant serait prématuré ». Après tout, la diffusion de la technologie prend du temps, et il faut continuer à observer les données économiques.
Honnêtement, cette attitude « prudemment optimiste mais sans excès » semble finalement plus crédible que les avis trop extrêmes, haussiers ou baissiers. Le marché n’est pas noir ou blanc : l’essentiel, c’est de voir si les fondamentaux peuvent vraiment soutenir les valorisations actuelles.