Dernière déclaration de l’avocat de CZ : une grande plateforme d’échange reste sous étroite surveillance des autorités américaines, et les liens avec Trump ne sont que d’ordre commercial.

[BlockBeats] La semaine dernière, Teresa Goody Guillén, l’avocate personnelle de CZ, a révélé une grosse info à la télévision : même si l’ancienne plus grande plateforme d’échange du monde s’est retirée du marché américain depuis longtemps et ne sert plus aucun utilisateur américain, les régulateurs américains ne lâchent toujours pas prise.

Qu’en est-il exactement ? Le Département de la justice, la Commodity Futures Trading Commission, ainsi que le Trésor via le personnel de surveillance de FinCEN (le réseau de lutte contre la criminalité financière), continuent de surveiller la conformité de cette plateforme. En clair, même si la société est partie, les comptes doivent encore être réglés.

Encore plus intéressant, l’affaire Trump. Les médias en ont beaucoup parlé, prétendant que cette plateforme aurait un lien avec World Liberty Financial de Trump, voire suggérant un « accord de grâce présidentielle ». Teresa a répondu cash : où sont les preuves que c’est une entreprise de Trump ? Leur stablecoin est émis sur BSC, c’est une opération commerciale normale et transparente !

Elle a aussi utilisé une comparaison frappante : « Si vous achetez du blé en francs suisses, cela veut-il dire que vous investissez ou corrompez des politiciens suisses ? » Cette logique, implacable, a remis à leur place toutes les théories du complot. On sent que l’équipe d’avocats avait beaucoup à dire, et cette fois, c’était une réponse publique claire.