Web3 passe de « empiler des blocs » à « cultiver la vie ». Autrefois, nous rivalisions sur les fonctionnalités, les modes de jeu, le rendement ; aujourd’hui, les équipes les plus perspicaces se concentrent sur une problématique plus profonde : comment faire en sorte que le système respire et évolue de lui-même ?
Trois axes se croisent discrètement, dessinant le contour d’un « organisme vivant » : @ekoxofficial, @snowball_money, @plancknetwork. Bien qu’ils semblent appartenir respectivement aux domaines du rendement, de l’identité et de la puissance de calcul, ils répondent tous à une même question — comment la fragmentation peut-elle se transformer en un organisme organique ?
Commençons par Ekox. Il ne vise pas un APY élevé, mais construit une « artère ». Les utilisateurs misent de l’ETH pour générer de l’eXETH — ce n’est pas un actif mort, mais une « sangsue écologique » circulante et à intérêt composé. Il cherche automatiquement sur la chaîne, réinvestit à travers différents pools, comme un cœur qui pompe le sang pour maintenir la vitalité du système. Le rendement n’est plus une fin, mais le point de départ du cycle.
Passons à Snowball. Il transforme le portefeuille d’un « adresse froide » en une « identité chaude ». MNS donne un nom universel inter-chaînes, et ORS quantifie chaque transaction, prêt ou interaction en un score de réputation. Ce score peut être échangé contre de la puissance de calcul ou déverrouillé pour des permissions, transmettant la confiance comme des synapses. Demain, qui êtes-vous ? Ce n’est plus le registre d’inscription qui le dit, mais l’« âme numérique » qui émerge de votre empreinte sur la chaîne.
Enfin, Planck. Il déploie un « réseau électrique décentralisé » pour le monde de l’IA. PoUW transforme les GPU inactifs en nœuds, exécutant de véritables tâches de raisonnement, produisant $PLANCK. La puissance de calcul n’est plus monopolisée par des géants miniers, mais distribuée selon la demande, comme un flux d’eau. Il ne crée pas d’applications IA, mais construit une « plateforme d’énergie » permettant à l’IA de fonctionner.
L’union de ces trois éléments : Ekox fournit la circulation sanguine, Snowball transmet, Planck propulse — pour la première fois, Web3 possède un cycle, une perception et un métabolisme. Quand le rendement peut s’autorenouveler, l’identité se développe d’elle-même, et la puissance de calcul peut être librement redistribuée, ce système n’est plus une simple accumulation de codes, mais une forme de vie évolutive.
Il est encore à l’état embryonnaire, mais son battement de cœur est déjà perceptible.
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GateUser-bd346df0
· Il y a 22h
faites vos propres recherches (DYOR) 🤓
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GateUser-bd346df0
· Il y a 22h
Toujours un plaisir avec tes mots, mes salutations 👍🙏🙏
Web3 passe de « empiler des blocs » à « cultiver la vie ». Autrefois, nous rivalisions sur les fonctionnalités, les modes de jeu, le rendement ; aujourd’hui, les équipes les plus perspicaces se concentrent sur une problématique plus profonde : comment faire en sorte que le système respire et évolue de lui-même ?
Trois axes se croisent discrètement, dessinant le contour d’un « organisme vivant » : @ekoxofficial, @snowball_money, @plancknetwork. Bien qu’ils semblent appartenir respectivement aux domaines du rendement, de l’identité et de la puissance de calcul, ils répondent tous à une même question — comment la fragmentation peut-elle se transformer en un organisme organique ?
Commençons par Ekox. Il ne vise pas un APY élevé, mais construit une « artère ». Les utilisateurs misent de l’ETH pour générer de l’eXETH — ce n’est pas un actif mort, mais une « sangsue écologique » circulante et à intérêt composé. Il cherche automatiquement sur la chaîne, réinvestit à travers différents pools, comme un cœur qui pompe le sang pour maintenir la vitalité du système. Le rendement n’est plus une fin, mais le point de départ du cycle.
Passons à Snowball. Il transforme le portefeuille d’un « adresse froide » en une « identité chaude ». MNS donne un nom universel inter-chaînes, et ORS quantifie chaque transaction, prêt ou interaction en un score de réputation. Ce score peut être échangé contre de la puissance de calcul ou déverrouillé pour des permissions, transmettant la confiance comme des synapses. Demain, qui êtes-vous ? Ce n’est plus le registre d’inscription qui le dit, mais l’« âme numérique » qui émerge de votre empreinte sur la chaîne.
Enfin, Planck. Il déploie un « réseau électrique décentralisé » pour le monde de l’IA. PoUW transforme les GPU inactifs en nœuds, exécutant de véritables tâches de raisonnement, produisant $PLANCK. La puissance de calcul n’est plus monopolisée par des géants miniers, mais distribuée selon la demande, comme un flux d’eau. Il ne crée pas d’applications IA, mais construit une « plateforme d’énergie » permettant à l’IA de fonctionner.
L’union de ces trois éléments : Ekox fournit la circulation sanguine, Snowball transmet, Planck propulse — pour la première fois, Web3 possède un cycle, une perception et un métabolisme. Quand le rendement peut s’autorenouveler, l’identité se développe d’elle-même, et la puissance de calcul peut être librement redistribuée, ce système n’est plus une simple accumulation de codes, mais une forme de vie évolutive.
Il est encore à l’état embryonnaire, mais son battement de cœur est déjà perceptible.
Ekox :
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