Rally du sucre sur la couverture des paris alors que des doutes persistent sur la production
Les contrats à terme sur le sucre montent grâce à un effet de compression des positions courtes—contrat de mars à New York +1,73 %, décembre à Londres +1,95 %—rebondissant fortement par rapport aux bas de 4 à 5 ans de la semaine dernière.
Ce qui a fait chuter les prix plus tôt : le Brésil inondant le marché. Datagro projette une production du Centre-Sud atteignant un record de 44 MMT la saison prochaine (+3,9% par rapport à l'année précédente), tandis que la production jusqu'à la mi-octobre est déjà en hausse de 0,9% par rapport à l'année précédente à 36 MMT. Plusieurs prévisionnistes annoncent un surplus mondial de 4 à 10 MMT pour 2025/26, contredisant directement l'appel rare à la déficience de l'ISO.
Mais voici le facteur imprévisible : l'Inde. Les précipitations de la mousson sont supérieures de 8 % à la normale (les plus fortes en 5 ans), ce qui pourrait entraîner une augmentation potentielle de +19 % d'une année sur l'autre pour atteindre 34,9 MMT. Problème ? Le négociant en sucre Sucden estime que l'Inde pourrait ne détourner que 4 MMT pour l'éthanol, les laissant avec un surplus. Cela pourrait signifier 4 MMT sur les marchés d'exportation contre une estimation précédente de 2 MMT. L'Inde est le deuxième producteur mondial, donc la pression à l'exportation ici est importante.
La Thaïlande (, premier #3, # exportateur ) au monde, connaît également une augmentation—une croissance de 5 % en glissement annuel à 10,5 MMT prévue.
Les mathématiques : le USDA prévoit une production mondiale en hausse de 4,7 % par rapport à l'année précédente, atteignant 189 MMT, avec des stocks de fin d'année en augmentation de 7,5 %. Cela est structurellement baissier. Le rebond d'aujourd'hui est probablement dû à des traders couvrant leurs positions vendeuses avant que la réalité de l'offre ne se manifeste. Surveillez les flux d'exportation en Inde - c'est le véritable levier de prix.
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Rally du sucre sur la couverture des paris alors que des doutes persistent sur la production
Les contrats à terme sur le sucre montent grâce à un effet de compression des positions courtes—contrat de mars à New York +1,73 %, décembre à Londres +1,95 %—rebondissant fortement par rapport aux bas de 4 à 5 ans de la semaine dernière.
Ce qui a fait chuter les prix plus tôt : le Brésil inondant le marché. Datagro projette une production du Centre-Sud atteignant un record de 44 MMT la saison prochaine (+3,9% par rapport à l'année précédente), tandis que la production jusqu'à la mi-octobre est déjà en hausse de 0,9% par rapport à l'année précédente à 36 MMT. Plusieurs prévisionnistes annoncent un surplus mondial de 4 à 10 MMT pour 2025/26, contredisant directement l'appel rare à la déficience de l'ISO.
Mais voici le facteur imprévisible : l'Inde. Les précipitations de la mousson sont supérieures de 8 % à la normale (les plus fortes en 5 ans), ce qui pourrait entraîner une augmentation potentielle de +19 % d'une année sur l'autre pour atteindre 34,9 MMT. Problème ? Le négociant en sucre Sucden estime que l'Inde pourrait ne détourner que 4 MMT pour l'éthanol, les laissant avec un surplus. Cela pourrait signifier 4 MMT sur les marchés d'exportation contre une estimation précédente de 2 MMT. L'Inde est le deuxième producteur mondial, donc la pression à l'exportation ici est importante.
La Thaïlande (, premier #3, # exportateur ) au monde, connaît également une augmentation—une croissance de 5 % en glissement annuel à 10,5 MMT prévue.
Les mathématiques : le USDA prévoit une production mondiale en hausse de 4,7 % par rapport à l'année précédente, atteignant 189 MMT, avec des stocks de fin d'année en augmentation de 7,5 %. Cela est structurellement baissier. Le rebond d'aujourd'hui est probablement dû à des traders couvrant leurs positions vendeuses avant que la réalité de l'offre ne se manifeste. Surveillez les flux d'exportation en Inde - c'est le véritable levier de prix.