11 novembre, le président de la Réserve fédérale de New York, John Williams, a exprimé un point de vue quelque peu pessimiste.
Dans une déclaration, il a affirmé que la situation des populations les plus défavorisées aux États-Unis s'aggrave, ce qui pourrait pousser la plus grande économie mondiale au bord de la récession. Le problème central ? L'écart entre riches et pauvres ne cesse de se creuser. Les ménages ordinaires peinent à faire face à la hausse des prix, tandis que les classes aisées profitent de la fête en bourse — l’indice S&P atteint presque des records historiques.
Cette fracture met le président de la Fed, Jerome Powell, dans une position difficile. Peut-on encore baisser les taux en décembre ? Si on le fait, cela pourrait stimuler une nouvelle poussée inflationniste ; si on ne le fait pas, on craint que la consommation des plus pauvres ne s’éteigne complètement. La mise en garde de Williams suggère en réalité : dans la boîte à outils de la politique monétaire, il n’y a probablement pas de solution parfaite qui puisse à la fois sauver les pauvres et ne pas nuire aux riches.
Pour le marché des cryptomonnaies, cette incertitude est une épée à double tranchant. D’un côté, la crainte d’une récession pourrait inciter les investisseurs à se tourner vers des actifs refuges comme le Bitcoin ; de l’autre, si la Fed est contrainte de maintenir des taux élevés en raison de la détérioration des données économiques, la réduction de la liquidité ne sera pas une bonne nouvelle pour des cryptos de taille moyenne comme GIGGLE ou SAPIEN.
En fin de compte, la prospérité en chiffres de Wall Street et la baisse du portefeuille des gens ordinaires, nous avons déjà vu ce scénario en 2008. Mais cette fois, la contradiction du système financier traditionnel pourrait-elle créer de nouvelles opportunités pour la narration décentralisée ? Le marché reste en attente.
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OnchainGossiper
· Il y a 19h
Après avoir coupé la couche inférieure, il est temps de s'attaquer à la classe moyenne.
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MissedAirdropAgain
· Il y a 19h
Il est temps de stocker à nouveau des bitcoins.
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StablecoinArbitrageur
· Il y a 19h
*ajuste les graphiques* corrélation fascinante entre l'écart de richesse et les métriques beta de btc... exécution de modèles rn
11 novembre, le président de la Réserve fédérale de New York, John Williams, a exprimé un point de vue quelque peu pessimiste.
Dans une déclaration, il a affirmé que la situation des populations les plus défavorisées aux États-Unis s'aggrave, ce qui pourrait pousser la plus grande économie mondiale au bord de la récession. Le problème central ? L'écart entre riches et pauvres ne cesse de se creuser. Les ménages ordinaires peinent à faire face à la hausse des prix, tandis que les classes aisées profitent de la fête en bourse — l’indice S&P atteint presque des records historiques.
Cette fracture met le président de la Fed, Jerome Powell, dans une position difficile. Peut-on encore baisser les taux en décembre ? Si on le fait, cela pourrait stimuler une nouvelle poussée inflationniste ; si on ne le fait pas, on craint que la consommation des plus pauvres ne s’éteigne complètement. La mise en garde de Williams suggère en réalité : dans la boîte à outils de la politique monétaire, il n’y a probablement pas de solution parfaite qui puisse à la fois sauver les pauvres et ne pas nuire aux riches.
Pour le marché des cryptomonnaies, cette incertitude est une épée à double tranchant. D’un côté, la crainte d’une récession pourrait inciter les investisseurs à se tourner vers des actifs refuges comme le Bitcoin ; de l’autre, si la Fed est contrainte de maintenir des taux élevés en raison de la détérioration des données économiques, la réduction de la liquidité ne sera pas une bonne nouvelle pour des cryptos de taille moyenne comme GIGGLE ou SAPIEN.
En fin de compte, la prospérité en chiffres de Wall Street et la baisse du portefeuille des gens ordinaires, nous avons déjà vu ce scénario en 2008. Mais cette fois, la contradiction du système financier traditionnel pourrait-elle créer de nouvelles opportunités pour la narration décentralisée ? Le marché reste en attente.