Une figure majeure de Wall Street a récemment confirmé une prédiction audacieuse concernant notre avenir. La prévision ? La semaine de travail de 3,5 jours pourrait devenir la norme dans les économies développées alors que l'IA poursuit sa progression implacable.

L'argument repose sur la pénétration accélérée de l'automatisation dans tous les secteurs. Nous ne parlons plus d’un scénario de science-fiction lointain — chaque application, chaque fonction professionnelle est touchée par des systèmes intelligents. Du service client à la génération de code, de l’analyse financière au travail créatif, les outils d’IA transforment la manière dont les tâches sont accomplies.

Ce qui rend cette prévision intéressante, ce n’est pas seulement le chiffre précis. C’est l’hypothèse sous-jacente que les gains de productivité liés à l’IA ne se limiteront pas à augmenter les marges des entreprises — ils restructureront fondamentalement notre conception du travail et du temps de loisir. Le monde développé pourrait en réalité transformer le progrès technologique en heures de travail plus courtes plutôt qu’en simple augmentation de la production.

Bien sûr, il existe un écart considérable entre la prédiction et la réalité. Cadres réglementaires, culture d’entreprise, répartition des revenus — de nombreux points de friction pourraient ralentir ou dévier cette vision. Mais à mesure que les capacités de l’IA s’accroissent d’année en année, la conversation sur l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée évolue clairement, passant de la philosophie à l’économie.

Que ce soit 3,5 jours ou un autre chiffre, une chose semble certaine : la relation entre l’effort humain et la valeur économique est en train d’être réécrite en temps réel.