Une plateforme majeure basée aux États-Unis et conforme aux réglementations vient d’envoyer une réponse officielle au Département du Trésor concernant le déploiement de la loi GENIUS. Leur position ? L’intention du Congrès compte — et les régulateurs doivent la respecter.
L’essentiel de leur demande est assez simple : exclure du champ d’application les logiciels non financiers. Il en va de même pour les validateurs de blockchain et les couches de protocoles open-source. La plateforme soutient que ces éléments ne devraient pas être soumis au même cadre réglementaire que les intermédiaires financiers traditionnels.
Pourquoi cela est-il important ? Parce que l’interprétation que le Trésor donnera à la loi pourrait redéfinir les limites de la supervision dans l’ensemble de l’écosystème crypto. Les validateurs ne sont pas des bourses d’échange. Le code open-source n’est pas un service financier. Définir ces distinctions clairement dès maintenant pourrait éviter un empiètement réglementaire à l’avenir.
Ce retour reflète des préoccupations plus larges de l’industrie concernant l’expansion du champ d’application de la réglementation crypto — où outils, infrastructures et activités financières réelles sont parfois regroupés. Le débat est loin d’être terminé.
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HappyToBeDumped
· Il y a 9h
Les régulateurs veulent encore s'immiscer dans les affaires des autres.
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0xSunnyDay
· Il y a 16h
C'est encore le moment où l'agence de réglementation arrête des gens.
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LayerZeroHero
· Il y a 16h
La régulation ne doit pas confondre les frontières entre le code et la finance.
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HypotheticalLiquidator
· Il y a 16h
La régulation constitue le plus grand risque systémique.
Une plateforme majeure basée aux États-Unis et conforme aux réglementations vient d’envoyer une réponse officielle au Département du Trésor concernant le déploiement de la loi GENIUS. Leur position ? L’intention du Congrès compte — et les régulateurs doivent la respecter.
L’essentiel de leur demande est assez simple : exclure du champ d’application les logiciels non financiers. Il en va de même pour les validateurs de blockchain et les couches de protocoles open-source. La plateforme soutient que ces éléments ne devraient pas être soumis au même cadre réglementaire que les intermédiaires financiers traditionnels.
Pourquoi cela est-il important ? Parce que l’interprétation que le Trésor donnera à la loi pourrait redéfinir les limites de la supervision dans l’ensemble de l’écosystème crypto. Les validateurs ne sont pas des bourses d’échange. Le code open-source n’est pas un service financier. Définir ces distinctions clairement dès maintenant pourrait éviter un empiètement réglementaire à l’avenir.
Ce retour reflète des préoccupations plus larges de l’industrie concernant l’expansion du champ d’application de la réglementation crypto — où outils, infrastructures et activités financières réelles sont parfois regroupés. Le débat est loin d’être terminé.