La Banque des rĂšglements internationaux et les banques centrales de France, de Singapour et de Suisse viennent de terminer le Projet Mariana. Gros Ă©vĂ©nement. C'est cette histoire de CBDC de gros qui utilise la technologie DeFi sur des blockchains publiques đLes centres du BIS Innovation Hub se sont associĂ©s dans plusieurs rĂ©gions. Ils ont travaillĂ© avec la Banque de France, l'AutoritĂ© monĂ©taire de Singapour et la Banque nationale suisse. Ensemble, ils ont testĂ© des versions simulĂ©es de leurs devises dans des conditions rĂ©elles. Assez impressionnant đQu'est-ce qu'il y a dans ce projet ? Quelques Ă©lĂ©ments clĂ©s. Ils ont dĂ©veloppĂ© des frameworks de token. Ils ont construit des ponts transfrontaliers pour transfĂ©rer ces monnaies numĂ©riques. Et ils ont créé ce systĂšme AMM qui fixe et exĂ©cute automatiquement les transactions de change. Pas de tiers nĂ©cessaires đ±Le design semble assez ingĂ©nieux. Les banques centrales conservent leurs pouvoirs de supervision. Pendant ce temps, les institutions financiĂšres peuvent transfĂ©rer de l'argent numĂ©rique Ă travers les frontiĂšres de maniĂšre plus efficace. Cela fonctionne toute la journĂ©e, tous les jours â beaucoup mieux que ce que nous avons maintenant. Un changement de jeu ? Peut-ĂȘtre đLe projet Mariana n'est pas encore terminĂ©. Pourtant, c'est un grand pas pour amĂ©liorer la maniĂšre dont l'argent circule au niveau mondial. La BRI explore encore ce que ces technologies peuvent faire. Pas tout Ă fait clair ce qui vient ensuite, mais ils partageront probablement des mises Ă jour lors de certaines confĂ©rences bancaires đ„Cette preuve de concept montre que la blockchain pourrait en fait fonctionner pour des systĂšmes financiers sĂ©rieux. Elle respecte les rĂšgles tout en changeant la façon dont les banques centrales gĂšrent les paiements transfrontaliers. Des choses rĂ©volutionnaires. Ou du moins, cela pourrait l'ĂȘtre đ
La BSI et les banques centrales ouvrent de nouvelles voies avec le projet de CBDC Mariana đ
La Banque des rĂšglements internationaux et les banques centrales de France, de Singapour et de Suisse viennent de terminer le Projet Mariana. Gros Ă©vĂ©nement. C'est cette histoire de CBDC de gros qui utilise la technologie DeFi sur des blockchains publiques đ
Les centres du BIS Innovation Hub se sont associĂ©s dans plusieurs rĂ©gions. Ils ont travaillĂ© avec la Banque de France, l'AutoritĂ© monĂ©taire de Singapour et la Banque nationale suisse. Ensemble, ils ont testĂ© des versions simulĂ©es de leurs devises dans des conditions rĂ©elles. Assez impressionnant đ
Qu'est-ce qu'il y a dans ce projet ? Quelques Ă©lĂ©ments clĂ©s. Ils ont dĂ©veloppĂ© des frameworks de token. Ils ont construit des ponts transfrontaliers pour transfĂ©rer ces monnaies numĂ©riques. Et ils ont créé ce systĂšme AMM qui fixe et exĂ©cute automatiquement les transactions de change. Pas de tiers nĂ©cessaires đ±
Le design semble assez ingĂ©nieux. Les banques centrales conservent leurs pouvoirs de supervision. Pendant ce temps, les institutions financiĂšres peuvent transfĂ©rer de l'argent numĂ©rique Ă travers les frontiĂšres de maniĂšre plus efficace. Cela fonctionne toute la journĂ©e, tous les jours â beaucoup mieux que ce que nous avons maintenant. Un changement de jeu ? Peut-ĂȘtre đ
Le projet Mariana n'est pas encore terminĂ©. Pourtant, c'est un grand pas pour amĂ©liorer la maniĂšre dont l'argent circule au niveau mondial. La BRI explore encore ce que ces technologies peuvent faire. Pas tout Ă fait clair ce qui vient ensuite, mais ils partageront probablement des mises Ă jour lors de certaines confĂ©rences bancaires đ„
Cette preuve de concept montre que la blockchain pourrait en fait fonctionner pour des systĂšmes financiers sĂ©rieux. Elle respecte les rĂšgles tout en changeant la façon dont les banques centrales gĂšrent les paiements transfrontaliers. Des choses rĂ©volutionnaires. Ou du moins, cela pourrait l'ĂȘtre đ