Je viens de voir le rêve russe de l'industrie automobile chinoise se transformer en cauchemar. Quelle spectaculaire effondrement ! L'année dernière, les constructeurs automobiles chinois bavaient pratiquement lorsque les marques occidentales ont fui la Russie après l'invasion de l'Ukraine. Ces showrooms vides ressemblaient à de l'or pur. Maintenant ? C'est une zone de catastrophe.
La nouvelle "taxe de recyclage" de Moscou a fait grimper les prix de 8 000 $ par modèle de base. Qui diable peut se le permettre en Russie ? Personne ! Surtout avec ces taux de prêt qui feraient rougir un usurier. Pas étonnant que les ventes aient plongé de 27 % en six mois, avec les importations chinoises en chute de 62 %. Ce n'est pas une baisse - c'est un massacre !
Les exportations de Geely ont chuté de 8 %, Great Wall Motor peine à rester à flot, et Chery—soupçonné d'être le champion des exportations de la Chine—n'a augmenté que de 11 % par rapport aux 25 % de l'année dernière. L'histoire de la croissance est morte. Pendant ce temps, BYD (suffisamment intelligent pour éviter le piège russe) a doublé ses ventes à l'étranger. La leçon ? Ne mettez pas tous vos œufs dans le panier de Poutine.
La véritable tragédie se déroule chez nous en Chine. Ces entreprises se noient dans une surcapacité et s'entretuent dans une guerre des prix qui ferait frémir les anciens gladiateurs. Avec l'effondrement du marché russe et de plus en plus de pays fermant la porte avec des tarifs douaniers, où diable sont-ils censés vendre toutes ces voitures ?
Trump remue la marmite comme d'habitude, se vantant auprès des journalistes que des dirigeants européens se rendent à Washington pour discuter de la fin de la guerre en Ukraine. "Ça sera réglé bientôt," affirme-t-il avec son bluster habituel. Je le croirai quand je le verrai.
Pendant ce temps, ce sommet virtuel des BRICS convoqué par Lula du Brésil semble être une tentative désespérée de former un front uni contre les menaces économiques de Trump. Xi et Poutine seront là, sans aucun doute en train de planifier comment répondre aux menaces de tarifs de 100 % de Trump. Bonne chance avec ça !
L'effondrement du marché automobile expose la stratégie d'exportation défaillante de la Chine. On ne peut pas construire un empire sur des sables mouvants. Pékin apprend à ses dépens que l'expansion nécessite de la diversification, pas de la dépendance. Et pour tous les autres qui observent ? C'est la preuve que dans le monde d'aujourd'hui, les affaires et la politique sont indissociables—que cela nous plaise ou non.
#TradeWar #russie #china #TRUMP
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Les géants chinois de l'automobile luttent alors que le marché russe s'effondre et que les tensions commerciales mondiales augmentent.
Je viens de voir le rêve russe de l'industrie automobile chinoise se transformer en cauchemar. Quelle spectaculaire effondrement ! L'année dernière, les constructeurs automobiles chinois bavaient pratiquement lorsque les marques occidentales ont fui la Russie après l'invasion de l'Ukraine. Ces showrooms vides ressemblaient à de l'or pur. Maintenant ? C'est une zone de catastrophe.
La nouvelle "taxe de recyclage" de Moscou a fait grimper les prix de 8 000 $ par modèle de base. Qui diable peut se le permettre en Russie ? Personne ! Surtout avec ces taux de prêt qui feraient rougir un usurier. Pas étonnant que les ventes aient plongé de 27 % en six mois, avec les importations chinoises en chute de 62 %. Ce n'est pas une baisse - c'est un massacre !
Les exportations de Geely ont chuté de 8 %, Great Wall Motor peine à rester à flot, et Chery—soupçonné d'être le champion des exportations de la Chine—n'a augmenté que de 11 % par rapport aux 25 % de l'année dernière. L'histoire de la croissance est morte. Pendant ce temps, BYD (suffisamment intelligent pour éviter le piège russe) a doublé ses ventes à l'étranger. La leçon ? Ne mettez pas tous vos œufs dans le panier de Poutine.
La véritable tragédie se déroule chez nous en Chine. Ces entreprises se noient dans une surcapacité et s'entretuent dans une guerre des prix qui ferait frémir les anciens gladiateurs. Avec l'effondrement du marché russe et de plus en plus de pays fermant la porte avec des tarifs douaniers, où diable sont-ils censés vendre toutes ces voitures ?
Trump remue la marmite comme d'habitude, se vantant auprès des journalistes que des dirigeants européens se rendent à Washington pour discuter de la fin de la guerre en Ukraine. "Ça sera réglé bientôt," affirme-t-il avec son bluster habituel. Je le croirai quand je le verrai.
Pendant ce temps, ce sommet virtuel des BRICS convoqué par Lula du Brésil semble être une tentative désespérée de former un front uni contre les menaces économiques de Trump. Xi et Poutine seront là, sans aucun doute en train de planifier comment répondre aux menaces de tarifs de 100 % de Trump. Bonne chance avec ça !
L'effondrement du marché automobile expose la stratégie d'exportation défaillante de la Chine. On ne peut pas construire un empire sur des sables mouvants. Pékin apprend à ses dépens que l'expansion nécessite de la diversification, pas de la dépendance. Et pour tous les autres qui observent ? C'est la preuve que dans le monde d'aujourd'hui, les affaires et la politique sont indissociables—que cela nous plaise ou non.
#TradeWar #russie #china #TRUMP