Le fameux prince Alwaleed Bin Talal est revenu dans le club très fermé des milliardaires selon Forbes avec ses 16,5 milliards de dollars. Premier riche du monde arabe ? Bravo, mais ce qui m'intéresse vraiment, c'est son jeu d'échecs financier : il place ses pions partout et je me demande s'il ne prépare pas une entrée fracassante dans notre petit monde crypto.
Qui est vraiment ce prince aux poches sans fond ?
Né avec une cuillère en or dans la bouche en 1955, ce petit-fils du fondateur d'Arabie Saoudite jongle avec les milliards comme nous avec notre salaire mensuel. Exclu depuis 2018 quand Forbes a arrêté de s'intéresser aux fortunes saoudiennes (trop opaques ?), le voilà qui réapparaît au 128ème rang mondial.
Sa tirelire ? La Kingdom Holding Company, son bébé vieux de 45 ans dont il détient 78,13%, estimée à environ 6,4 milliards. Ce n'est pas juste un riche héritier, c'est un requin de la finance qui a bâti un empire d'investissement valorisé à 19 milliards fin 2024.
Le petit prince ne met pas tous ses œufs dans le même panier : immobilier de luxe, média Rotana, et même 1,5% de Snap Inc. Mais le plus révélateur ? En 2022, le fonds souverain saoudien PIF a acheté 16,9% de Kingdom Holding pour 1,6 milliard. Coïncidence ? Je ne crois pas...
Ses tentacules sont partout
Dans la tech, ce prince n'est pas un novice. Deuxième actionnaire de X (l'ex-Twitter) et d'xAI de Musk. Il a même pompé 800 millions dans xAI l'an dernier. Il était déjà dans le coup quand Musk a gobé Twitter, et maintenant il se frotte les mains avec la fusion X-xAI. Il espère que son investissement va grimper à 4-5 milliards. Pas mal pour un "simple" prince !
Son portfolio est ahurissant : 31% dans l'hôtellerie de luxe avec Four Seasons (en partenariat avec Gates), 6,8% d'Accor, 1,06% de Citigroup (qui lui a rapporté jusqu'à 10 milliards), et 16,2% de Banque Saudi Fransi.
Et ne parlons pas de ses folies immobilières : le Kingdom Centre à Riyad et cette tour délirante de 1000 mètres à Jeddah. Dans l'aviation, il possède 37,2% de Flynas qui va bientôt entrer en bourse. Il a même des doigts dans la santé et l'éducation.
Avec un tel appétit pour l'innovation et son soutien à Musk, je me demande quand il va se décider à plonger dans nos cryptos. Un jour, il balancera quelques milliards sur BTC ou DOGE, et tout le marché s'enflammera. Mais méfiez-vous, quand les princes du pétrole s'intéressent à un marché, ce n'est jamais innocent.
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Le prince des pétrodollars lorgne sur la crypto ? Je n'y crois pas une seconde !
Le fameux prince Alwaleed Bin Talal est revenu dans le club très fermé des milliardaires selon Forbes avec ses 16,5 milliards de dollars. Premier riche du monde arabe ? Bravo, mais ce qui m'intéresse vraiment, c'est son jeu d'échecs financier : il place ses pions partout et je me demande s'il ne prépare pas une entrée fracassante dans notre petit monde crypto.
Qui est vraiment ce prince aux poches sans fond ?
Né avec une cuillère en or dans la bouche en 1955, ce petit-fils du fondateur d'Arabie Saoudite jongle avec les milliards comme nous avec notre salaire mensuel. Exclu depuis 2018 quand Forbes a arrêté de s'intéresser aux fortunes saoudiennes (trop opaques ?), le voilà qui réapparaît au 128ème rang mondial.
Sa tirelire ? La Kingdom Holding Company, son bébé vieux de 45 ans dont il détient 78,13%, estimée à environ 6,4 milliards. Ce n'est pas juste un riche héritier, c'est un requin de la finance qui a bâti un empire d'investissement valorisé à 19 milliards fin 2024.
Le petit prince ne met pas tous ses œufs dans le même panier : immobilier de luxe, média Rotana, et même 1,5% de Snap Inc. Mais le plus révélateur ? En 2022, le fonds souverain saoudien PIF a acheté 16,9% de Kingdom Holding pour 1,6 milliard. Coïncidence ? Je ne crois pas...
Ses tentacules sont partout
Dans la tech, ce prince n'est pas un novice. Deuxième actionnaire de X (l'ex-Twitter) et d'xAI de Musk. Il a même pompé 800 millions dans xAI l'an dernier. Il était déjà dans le coup quand Musk a gobé Twitter, et maintenant il se frotte les mains avec la fusion X-xAI. Il espère que son investissement va grimper à 4-5 milliards. Pas mal pour un "simple" prince !
Son portfolio est ahurissant : 31% dans l'hôtellerie de luxe avec Four Seasons (en partenariat avec Gates), 6,8% d'Accor, 1,06% de Citigroup (qui lui a rapporté jusqu'à 10 milliards), et 16,2% de Banque Saudi Fransi.
Et ne parlons pas de ses folies immobilières : le Kingdom Centre à Riyad et cette tour délirante de 1000 mètres à Jeddah. Dans l'aviation, il possède 37,2% de Flynas qui va bientôt entrer en bourse. Il a même des doigts dans la santé et l'éducation.
Avec un tel appétit pour l'innovation et son soutien à Musk, je me demande quand il va se décider à plonger dans nos cryptos. Un jour, il balancera quelques milliards sur BTC ou DOGE, et tout le marché s'enflammera. Mais méfiez-vous, quand les princes du pétrole s'intéressent à un marché, ce n'est jamais innocent.
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