Le gouvernement afghan construit le canal de Qosh Tepa, qui est dit être le plus grand d'Asie. Wow ! 285 km de long pour irriguer plus de 550 000 hectares dans le nord du pays. Imposant, n'est-ce pas ? Mais j'ai des doutes.
Quand je regarde ce projet, alimenté par le fleuve Amu Darya, je vois encore un exemple de la façon dont les dirigeants afghans sont désespérés de montrer leur pouvoir, sans penser aux conséquences. Ils prétendent que c'est un symbole d'autosuffisance parce qu'il est construit uniquement avec des ressources locales. Beau sur le papier, mais qu'en est-il des voisins ?
Je ne veux même pas penser au désastre environnemental que cela pourrait devenir ! Pendant que les talibans célèbrent le "développement", les pays voisins d'Asie centrale tremblent. L'Ouzbékistan pourrait perdre 15 % de son eau et le Turkménistan jusqu'à 80 % ! C'est comme voler de l'eau dans le jardin du voisin et ensuite se vanter d'avoir un beau potager.
Cette œuvre pharaonique est vendue comme un miracle économique pour l'agriculture afghane, mais en réalité, c'est encore une bombe à retardement pour les conflits régionaux liés à l'eau. Et personne n'en parle ! L'eau, c'est la vie, c'est le pouvoir... et elle devient de plus en plus rare.
Plus je vois ces "grands projets", plus je comprends que le développement sans coopération régionale est un pur égoïsme déguisé en progrès.
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Canal de Qosh Tepa : Le Plus Grand Canal d'Asie - Une Œuvre Controversée
Le gouvernement afghan construit le canal de Qosh Tepa, qui est dit être le plus grand d'Asie. Wow ! 285 km de long pour irriguer plus de 550 000 hectares dans le nord du pays. Imposant, n'est-ce pas ? Mais j'ai des doutes.
Quand je regarde ce projet, alimenté par le fleuve Amu Darya, je vois encore un exemple de la façon dont les dirigeants afghans sont désespérés de montrer leur pouvoir, sans penser aux conséquences. Ils prétendent que c'est un symbole d'autosuffisance parce qu'il est construit uniquement avec des ressources locales. Beau sur le papier, mais qu'en est-il des voisins ?
Je ne veux même pas penser au désastre environnemental que cela pourrait devenir ! Pendant que les talibans célèbrent le "développement", les pays voisins d'Asie centrale tremblent. L'Ouzbékistan pourrait perdre 15 % de son eau et le Turkménistan jusqu'à 80 % ! C'est comme voler de l'eau dans le jardin du voisin et ensuite se vanter d'avoir un beau potager.
Cette œuvre pharaonique est vendue comme un miracle économique pour l'agriculture afghane, mais en réalité, c'est encore une bombe à retardement pour les conflits régionaux liés à l'eau. Et personne n'en parle ! L'eau, c'est la vie, c'est le pouvoir... et elle devient de plus en plus rare.
Plus je vois ces "grands projets", plus je comprends que le développement sans coopération régionale est un pur égoïsme déguisé en progrès.
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